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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 12:33

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 17:24

homme-man-sexy-miss-photo-pro-overblog.jpg

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 12:29


Hungarian_Woman-quinn-jacobson-miis-photo-pro-overblog.jpg 

Du 10 mars au 24 avril 2010 au centre Iris, Paris III ème.

Découvrez sa technique ancienne du collodion humide sur plaques. 

« Glass Memories » présente deux séries. Une première série en rapport avec ses souvenirs d’enfance américaine, la seconde réalisée durant son séjour en Allemagne, à la fois sur les traces contemporaines de la Shoah dans la mémoire collective, mais également sur ses propres origines juives européennes. De ses jeunes années dans l’Utah, à Odgen, au cours des années 1970, Quinn Jacobson a gardé le souvenir des marginaux rencontrés dans sa rue, dans un quartier modeste de la ville. Ces personnes vivant à la lisière de la société l’ont particulièrement impressionné.


Des années plus tard, la photographie a permis à Quinn Jacobson d’interroger ses souvenirs et les émotions suscités par ces rencontres. Il est donc retourné à Odgen, sur Madison Avenue et a réalisé les portraits des marginaux d’aujourd’hui, constatant la même pauvreté, le même désarroi, la même solitude. Quinn Jacobson nous montre des visages abîmés, des « tronches » burinées par les accidents de la vie, par les épreuves à répétées. Pour lui, les incidents aléatoires du procédé au collodion, les altérations, les tâches, traduisent de la dureté des ces existences.

Cette série n’est pas un documentaire photographique et n’a pas de prétention historique. C’est la visionpersonnelle de Quinn Jacobson, basée sur sa propre expérience et sa propre émotion.
C’est aussi son désir de confronter la société allemande contemporaine à cet épisode tragique de l’Histoire. Un besoin impérieux de retourner sur ce passé et de comprendre ce que pensent les citoyens allemands d’aujourd’hui et comment ils l’expriment.

quinn-jacobson-miss-photo-pro-overblog-exposition.jpg

Quinn Jacobson est né à Odgen, Utah, États-Unis, il est titulaire d’un Bachelor of Integrated Studies, Weber State University, Ogden, Utah, États-Unis, obtenu en 1993 (photographie, communication et art visuel) et d’un Master of Fine Arts, Goddard College, Plainfield, Vermont, États-Unis obtenu en 2007 (photographie du 19ème siècle, photographie numérique, vidéo numérique). Il séjourne actuellement en Allemagne, à Viernheim, dans la région de la Hesse depuis 2005 et y poursuivra son projet jusqu’en 2011, avant de retourner au États-Unis.

 
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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 11:30

photo-homme-mec-sexy.jpg

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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 23:16

alice-au-pays-des-merveilles-photo-miss-photo-pro.jpg

"Avec sa 3D, Burton aura réussi un paris risqué : ne pas me donner envie de vomir.

Et merdre.

J’avais déjà écrit une pleine page d’article sur Alice au pays des merveilles, de Tim Burton. J’y décrivais ce que j’ai nommé la Burton’s Touch, of the Death of the Movie, et ses répercussions catastrophiques sur des films comme La planète des singesSweeney Todd, et évidemment, sur sa dernière éjaculation cérébrale, Alice au pays des merveilles. Une éjaculation en 3D. Super. Utile. Je faisais le parallèle entre Burton et un Dieu, rapport aux orgasmes à répétition à la simple entente de son nom, j’émettais l’hypothèse qu’il puisse posséder divers avatars. J’en étais à deux doigts de dire que ses scénarios, quand ils n’appartenaient pas à son avatar du Remake (divinité maléfique, il faut croire), n’étaient pas de lui. Qu’il les entendait. Que c’étaient les poux et les morpions présents dans son cuir chevelu qui, ayant depuis bien longtemps acquis une forme d’intelligence, faisaient des réunions autour du shampooing pour raconter des histoires, et que Tim pouvait les entendre, et en faisait des films.

Une sorte d’hommage capillaire.

J’avais commencé à décrire les personnages, et leurs reflets par rapports aux oeuvres de Lewis Caroll. Je les recevais un par un, dans mon office. Et je les faisais se baisser. Et je les faisais tousser.

J’évoquai aussi l’inutilité de la 3D pour ce film. Aussi utile que de manger un banana split en plein hiver, la fenêtre ouverte, et sans chocolat, ou sans banane.

Enfin, je parlai de ma peur de l’avatar comédie musicale, me rappelant ma soirée, passée en position fœtale, lors de mon unique visionnage de Sweeney Todd.

Sur ce point, je fus ravi. Dans Alice, rien ne part en cahuète de chanson.

Enfin, je n’ai plus accès à mon brouillon.

Je n’ai pas compris. Paraît que ce film est de Tim Burton. Ah. Oui, ça marche pour les trente premières minutes. Non. Je délire. ça marche pour les dix premières minutes après qu’Alice arrive au « pays des merveilles ». Pays si plat qu’il ressemble à la Belgique… Enfin, ça, c’est sans doute dû à la 3D. Burton a ce talent indéniable d’avoir un univers personnel reconnaissable, un peu comme José Dayan. Un film de Burton, c’est un Burton. On reconnaît de suite sa patte gothico-morbide, à ses ombres mouvantes et sinistres. Je reconnais qu’à un moment, on voit des arbres aux branches épineuses et retournées sur elles mêmes.

D’Alice au pays des merveilles, et de De l’autre côté du miroir5, Burton n’a qu’à peine retenu les noms. J’étais sur le point d’écrire : « les personnages », mais je me suis ravisé, par soucis d’honnêteté.

Oh, oui, Alice est candide, et l’actrice est savoureuse. Un vrai beignet à croquer.

J’ai l’impression que tout le reste n’est qu’une fuite de cerveau. Eh bien, parlons de Johnny Depp, après tout c’est lui, l’affiche.

Pour appâter les foules, me direz-vous ?

Vous n’auriez pas tort. Ici, c’est le maquillage qui joue. Pas Johnny. Personnellement, je pense qu’il n’a jamais aussi mal joué, dommage pour un acteur de sa trempe. Rien qu’accepter ce rôle de chapelier fou/chevalier est, en soit, une ineptie. A part de rares moments où l’on retrouve le personnage des livres, Johnny joue le rôle d’un chapelier fou, pas fou. Fou, un petit peu. Pas fou. Le freestyle va un peut trop loin.

Ah, mais ! ça comblera les amateur de Burton, qui trouveront ça fabuleux, tout simplement. Si vous connaissez un tant soit peu les deux éditions de l’histoire, vous serez déçus. Que dis-je : vous ne comprendrez pas.

Si à la limite, le film suivait le grand n’importe quoi de la danse de fin... A la limite... Non.

Je ne vais pas être vache. En fait, jusqu’à ce qu’on voit la reine rouge, le film est très sympathique. Mais alors, respectons cette limite. Après, on est plongé dans Le monde de Narnia, et oubliez tout ce que vous savez sur Alice. Le chapelier devient chevalier, il y a une grande bataille, et des soldats, et des bêtes fantastiques !!! Whohou !!! Bref, c’est du délire… Un manque de respect somme toute. Non. Pire. De l’ingestion par le gros ver Disney. Ver à qui Burton a vendu son talent, et là, il s’est installé sur une salade.

Alice-aux-pays-des-merveilles-de-Tim-Burton-miss-p-copie-1.jpg

Ce film n’est qu’un coup de pub. C’est un amasse fric. Johnny en affiche. Depp partout. De la 3D pour attirer le chaland(vais-je rappeler l’inutilité de cette 3D ? ), un titre prestigieux… Tout ça, c’est une histoire de licence, en gros. Dommage que cette licence soit faite sur une œuvre littéraire comme celle-ci, et que pour la foule, elle fasse bientôt office de canon. Bref, ce film vaut autant qu’une attraction de Disneyland. Disney qui nous sert une bonne grosse salade, si je puis me permettre.

J’entends dire que ce film est fabuleux, fantastique… Il reste marquer d’un sceau Disney très politiquement correct (je vous laisse deviner la réception première des bouquins de Carroll), et gentil. Pitoyable pour du Burton. Du pitoyable auquel il nous habitue depuis dix ans. Et on l’admire toujours autant.

C’est bête.

Il a les moyens… Il avait le talent.

grmpf.

Illusion et déception. Deux livres pris, malaxés, égouttés, essorés, vinaigrés de sauce Burton, et jetés à la foule comme il se doit, dans l’unique but de faire du fric. Il aurait au moins pu changer le titre.

Réveillez-vous. C’est un rêve. Burton est devenu une imposture. Alors mettez-vous devant un bon Terry Gilliam, et appréciez sa malédiction, et son univers, bien plus authentique dans son onirisme sombre et coloré."

  1. 1 Quel talent. Mais quel talent.
  2. 2 même si un frisson me parcourait souvent. La peur de la comédie musicale, c’est tenace. Les traumatismes aussi.
  3. 3  Ce film est peut être sponsorisé par des ophtalmos, parce que pendant deux heures, j’ai cru être astigmate. 
  4. 4   Les poux, sans doute.
  5. 5   l’égalité des chances était inconnue à l’époque. 
  6. 6   D’une manière générale, il n’y a que des effets spéciaux qui jouent dans ce film
  7. 7   zozotements, pas zozotements… gné ? 
  8. 8   un ersatz. Un ersatz. 
  9. 9   La 3D a le don de me foutre la gerbe. Quoique ici, moins que dans Avatar, voire pas du tout. D’où l’entête. [
  10. 10  La Rafle en 3D, ça doit déchirer sévère !
  11. 11  Qui n’a rien à voir avec l’original, mais on y croit... 
  12. 12   on doit pouvoir mesurer la valeur canonique d’un film au nombre de sonneries de portables et de chuchotements qu’on entend pendant la séance du premier mercredi après midi. 
  13. 13  Non, en fait, Anne Hathaway a ici le rôle de sa vie. 

Source : http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/alice-aux-pays-des-salades-72341
Parsycander, vendredi 26 mars 2010       

 

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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 13:58

shai kremer infected landscape

18 mars-30 avril 2010
Paris 3e. Galerie Les Filles du Calvaire
A travers les deux séries photogrpahiques, «Infected Landscape» et «Fallen Empires», Shai Kremer dresse un portrait métaphorique de la transformation du paysage israélien par des années, des décennies voire des siècles de passages successifs de civilisations.

Dans ses photographies de la série «Infected Landscape», «certains endroits sont aisément identifiables comme les zones d'entraînement militaires tels que «Chicago», sorte de ville fictive qui a servi pendant de nombreuses années de camp d'entraînement pour les troupes israéliennes. D'autres sont plus ambigus. Seuls les titres permettent de localiser géographiquement et politiquement les lieux. Certaines photographies semblent, au premier abord, représenter des endroits bucoliques et champêtres comme ses petites collines recouvertes d'une végétation luxuriante qui s'avèrent être, à la lecture du titre, une barrière de tank dans les hauteurs du Golan.» (Extrait du texte A Measure of Nature de Sylvia Wolf, Infected Landscape, Ed. Dewi Lewis Publishing)

Dans sa série «Fallen Empires», Shai Kremer montre comment l'Histoire façonne et modifie un paysage, comment les différentes strates historiques, les différentes périodes d'occupation d'un lieu, par différentes civilisations le marquent de manière permanente. Pour décrire la complexité des changements survenus dans le paysage israélien, Shai Kremer préfère garder une certaine distance. 

shai-kremer-photo-copie-1.jpg

Loin de montrer le territoire israélien par le même prisme que les journaux télévisés, le sujet est abordé de manière plus subtile. Il considère qu'il n'est pas nécessaire de choquer pour créer un impact. Il préfère inviter le spectateur à penser, à analyser et voit le paysage comme une plate-forme amenant à la discussion. Par ses photographies, Shai Kremer révèle comment chaque parcelle de terre est maintenant «infectée» par les traces et sédiments du conflit actuel. L'accumulation de ruines et de réminiscence de constructions militaires sont une partie importante de ce qui définit aujourd'hui le paysage israélien.

«Mes photographies montrent l'empreinte menaçante et omniprésente de l'armée sur le paysage israélien, et par effet de miroir, cette même empreinte sur la société israélienne. L'esthétique des images, leurs compositions ordonnées imitent les mécanismes de défense des citoyens israéliens essayant coûte que coûte de tendre vers une vie «normale». Les cicatrices cachées du paysage correspondent aux blessures de l'inconscient collectif du pays. Le paysage, infecté par l'accumulation des sédiments déposés par un conflit sans fin, devient une plate-forme de discussion.» Shai Kremer.

http://www.shaikremer.com

Source : http://miss-photo-pro.over-blog.com/ext/http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/Infected%20Landscape%20et%20Fallen%20Empires/Kremer-Shai/10376.html
 

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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 13:43
Photographer Chadwick Tyler shoots all the Marc by Marc Jacobs models for Another Magazine See the original here: http://www.anothermag.com/exclusives/marcs-models 
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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 10:21
fille-girl-sexy-glamour-mode-photo.jpg
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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 11:30

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 19:08

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